L’INSULTE de Ziad Doueiri

Beyrouth, de nos jours, une insulte qui dégénère conduit Toni (chrétien libanais) et Yasser (réfugié palestinien) devant les tribunaux. De blessures secrètes en révélations, l’affrontement des avocats porte le Liban au bord de l’explosion sociale mais oblige ces deux hommes à se regarder en face.

** En Compétition Officielle à la 74ème édition de la Mostra de Venise**
Prix du Meilleur Acteur pour Kamel el-Basha

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**Nomination Oscar du meilleur fil étranger 2018**

**Trophée Francophone Meilleur second rôle féminin Diamand Abbou Aboud**

**Trophée Francophone Meilleur Scénario Joëlle Touma et Ziad Doueiri**

** Sélections Officielles au Festival du Film de Telluride & et au Festival International du Film de Toronto**

** Prix du public, le prix Sociograph Award, ainsi que Blogos de Oro au 62ème Festival International du Film de Valladolid **

**Standard Readers Jury’s Award au Festival International du Film de Vienne **

**Silver star au Festival international du film d’El Gouna et  Prix Variety MENA Talent of the year **

**Prix du public à l’ Afi fest Hollywood **

**Prix du Public, Prix du Syndicat Français de la Critique de Cinéma, & Prix François Chalais du scénario aux Rencontres de Cannes **

**Prix du public et Prix du jury étudiant au Festival du Film d’Histoire de Pessac **

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JEANNETTE L’ENFANCE DE JEANNE D’ARC de Bruno Dumont

Sortie en salles le 6 septembre

Domrémy, 1425. Jeannette n’est pas encore Jeanne d’Arc, mais à 8 ans elle veut déjà bouter les Anglais hors du royaume de France.

Inspirée des écrits de Charles Péguy, la Jeannette de Bruno Dumont revisite les jeunes années d’une future sainte sous forme d’un film musical à la BO électro-pop-rock signée Gautier Serre, alias Igorrr et aux chorégraphies signées Philippe Decouflé.

** Sélection à la Quinzaine des Réalisateurs – Cannes 2017 **

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* Mouette d’or (Meilleur Film) – Festival du Film Culte *

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* Nomination Meilleure Musique Igorrr – 23èmes Lumières de la presse internationale Prix Lumière 2018*

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CHOUF de Karim Dridi

 

Chouf, ça veut dire “regarde” en arabe. C’est le nom des guetteurs des réseaux de drogue de Marseille. Sofiane, 20 ans, brillant étudiant, intègre le business de son quartier après que son frère, un caïd local, est tué sous ses yeux. Pour retrouver ses assassins et le venger, Sofiane est prêt à tout.

Il abandonne famille, études et gravit rapidement les échelons. Aspiré par une violence qui le dépasse, Sofiane découvre la vérité et doit faire des choix.

* Sélection Officielle au Festival de Cannes 2016*

* Prix d’interprétation pour Foued Nabba – Journées Cinématographiques de Carthage 2016*

* Prix de la meilleure musique originale TV5 MONDE – Journées Cinématographiques de Carthage 2016*

MA LOUTE

*Compétition officielle Festival de Cannes 2016*

*Giraldillo de oro Seville 2016*

Eté 1910, Baie de la Slack dans le Nord de la France. De mystérieuses disparitions mettent en émoi la région. L’improbable inspecteur Machin et son sagace Malfoy (mal)mènent l’enquête. Ils se retrouvent bien malgré eux, au cœur d’une étrange et dévorante histoire d’amour entre Ma Loute, fils ainé d’une famille de pêcheurs aux mœurs bien particulières et Billie de la famille Van Peteghem, riches bourgeois lillois décadents.

LA ROUTE D’ISTANBUL – Le nouveau film de Rachid Bouchareb

Lorsque la police lui apprend qu’Elodie, sa fille unique de 20 ans, est en route pour rejoindre l’état islamique établi entre la Syrie et l’Iraq, la vie d’Elisabeth bascule. Elle est sous le choc et ne comprend pas ce geste car cette guerre n’est pas la leur. Elisabeth parvient à reprendre contact avec Elodie mais elle est vite démunie face à cette jeune femme qu’elle ne reconnaît plus. Seule dans son combat, elle décide alors de partir en Syrie chercher sa fille et la convaincre de revenir avec elle en Belgique. Mère et fille arriveront-elles à se retrouver et à se comprendre ?

Simon

“Je m’appelle Simon et j’ai 17 ans. Il y a deux ans, la fatalité m’est tombée dessus comme un avion de ligne sur un pavillon de banlieue. C’est vrai, je marche sur un fil et la chute sera probablement fatale. Heureusement il y a mes parents, les potes, le skate, le rock…et surtout Agathe. Mettre un pied devant l’autre ne me suffit plus. Je veux laisser une trace, faire quelque chose de ma vie. Quelque chose de bien de préférence.”

Ma Loute

Eté 1910, Baie de la Slack dans le Nord de la France. De mystérieuses disparitions mettent en émoi la région. L’improbable inspecteur Machin et son sagace Malfoy (mal)mènent l’enquête. Ils se retrouvent bien malgré eux, au cœur d’une étrange et dévorante histoire d’amour entre Ma Loute, fils ainé d’une famille de pêcheurs aux mœurs bien particulières et Billie de la famille Van Peteghem, riches bourgeois lillois décadents.

CHOUF

Sortie le 5 octobre

* Sélection Officielle Festival de Cannes 2016*

Chouf, ça veut dire “regarde” en arabe. C’est le nom des guetteurs des réseaux de drogue de Marseille. Sofiane, 20 ans, brillant étudiant, intègre le business de son quartier après que son frère, un caïd local, est tué sous ses yeux. Pour retrouver ses assassins et le venger, Sofiane est prêt à tout.

Il abandonne famille, études et gravit rapidement les échelons. Aspiré par une violence qui le dépasse, Sofiane découvre la vérité et doit faire des choix.

 

Berlin Film Review: “Road to Istanbul”

Rachid Bouchareb delivers one of his stronger recent efforts with this account of a Belgian woman sent reeling when her daughter joins ISIS.

Justin Chang

After two meandering dramas (“Just Like a Woman” and “Two Men in Town”) featuring Muslim characters on New Mexico soil, the French-born Algerian director Rachid Bouchareb abruptly veers into topical territory with “Road to Istanbul,” a compellingly one-sided portrait of a Belgian woman desperately trying to find the daughter who ran away from home to join the Islamic State in Syria. Set at the juncture where Third World problems unexpectedly become First World concerns, the film follows the mother (strongly played by Astrid Whettnall) with a single-minded intensity that, for better and for worse, treats the child’s motivations as a largely offscreen mystery. While some of the final scenes are played with a bluntness that strains credulity, overall this swift-moving tale has a spareness and simplicity that feel welcome after Bouchareb’s more strained recent efforts; the sad timeliness of its premise should translate into solid festival play and modest arthouse potential.

La Route d’Istanbul – Variety Berlin 2016